Les internautes guinéens se souviendront encore longtemps de ce samedi 21 mars où ils ont été victimes de restriction sur l’utilisation des réseaux sociaux. Une coupure qui est intervenue à la veille du double scrutin (législatif et Référendum) qui a obligé certains à avoir recours au VPN. Ces blocages avaient été dénoncés entre autres par les données de l'observatoire Internet NetBlocks et le collectif Hanonymous.

 

 

Quelques heures après la tenue de ce scrutin, les internautes remarqueront que les sites web officiel du gouvernement guinéen et de la primature ont été hacker et ne sont plus accessible. Chose qu’avait promis de faire le collectif Hanonymous en réponse à la restriction faite sur les réseaux sociaux. Bien que pour le moment, aucune revendication n’a été faite à ce sujet.

 

 

 

Pour info, Anonymous (Anonymes), est un mouvement hacktiviste, se manifestant notamment sur Internet, agissant de manière anonyme dans un but particulier (souvent pour défendre la liberté d'expression). Les actions informatiques et physiques attribuées à Anonymous sont entreprises par des activistes non identifiés. Lors des manifestations physiques du collectif, les membres sont généralement masqués. Ils se présentent comme des défenseurs du droit à la liberté d'expression sur Internet et en dehors.

 

Youssef Haidara

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