Il y'a quelques semaines, le rappeur franco-congolais Youssoupha a dévoilé son septième album baptisé "Neptune Terminus Origines" avec en couverture, son fils en astronaute et portant l’écusson United States of Africa.

 

 

Mais avant, il a dévoilé un clip intitulé (Amapiano) dans lequel on le découvre portant le maillot de l'international attaquant Sénégalais de Liverpool Sadio Mane. Interpellé sur c'est deux faits lors d'une interview exclusive accordée à (Jeune-Afrique), le weekend dernier, le rappeur répond.

 

Dans votre clip vous endossez un maillot de Sadio Mané. Que représente pour vous la victoire du Sénégal à la Coupe d’Afrique des nations et la sélection pour le mondial ?

 

 

« Je suis un passionné de foot et un supporter de Liverpool. C’est donc un clin d’œil à Sadio Mané, un joueur brillant dont on ne parle pas assez. Je porte le maillot qu’il m’a lui-même offert. Et ma mère est sénégalaise, donc quand le Sénégal gagne, ça me fait plaisir. Puis, c’est un club qui, injustement, n’avait pas beaucoup de palmarès. Mon équipe de cœur reste néanmoins les Léopards du Congo. » a avoué le rappeur

 

De cette réédition de Neptune Terminus, intitulée Neptune Terminus : Origines vous dites : « Ce projet n’est pas une suite, c’est le début. » C’est-à-dire ?

 

« Je suis fan de sagas comme Star Wars, Le Seigneur des anneaux, Matrix, etc. « Neptune » c’était le terminus, alors revenons maintenant sur nos origines. Ce projet n’est pas un épisode « 2 » mais plutôt le numéro « 0 », un préquel. C’est pour cela qu’il s’appelle « Origines » et que c’est mon fils qui est en couverture avec un casque d’astronaute. J’aime les concepts dystopiques et ces séries de science-fiction où le début est la fin. » s'est-il justifié

 

Pour rappel, depuis l’album de famille proposé dans Polaroïd Experience (2018) et Neptune Terminus sorti l’année dernière, Youssoupha joue davantage des mélodies, des styles et des collaborations sans rien lâcher de ses ingrédients phares : la verve pour dénoncer les injustices sociales et raciales, des références culturelles et politiques, plus africaines dans cet opus, et une plume résolument tournée vers le « meilleur ».

 

 

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