Parmi les promoteurs culturels de grands événements les plus influents de la Guinée, le patron des structures "Tidiane World Music" connu aussi ce milieu et les casseroles qu’il ne traîne comme personne d'autre au pays et ne cesse de le démonter et de le dénoncer.

 

 

Ne serait-ce qu'en lisant un extrait des révélations qu'il a fait ce matin, nous sommes étonnés de découvrir qu'il y'a tant de haine et coup bas dans ce secteur.

 

« Climat du Milieu :

 

Trente-sept ans de manque d'union, d'acceptation de l'excellence, de médiocrité, de manque de résultats concrets sur le terrain pour la Culture , formation de clans, climat de la haine, (Ex : Suppression de nom d'acteur culturel sur un décret de ministre en plein studio en 2014 au vivant de Feu Ahmed Tidiane Cisse avec preuves des média, fruit de la même haine et jalousie du même secteur culturel), maraboutage, sorcellerie,  rendu au niveau des diables et fétiches extrêmement graves dans ce milieu d'hypocrisie, de méchanceté, de coups bas et avec tout cela, vous êtes surpris du choix fait en dehors du secteur culturel , surtout une femme selon certains ? 

 

BRAVO.  Allah Akbar.   Il faut se repentir.

 

Car les représailles divines se feront ici, terre à terre, pour les tous les mauvais actes de l'humain envers l'humain dans ce milieu culturel noir, très noir en Guinée.

 

Sabotage, colportage de rumeurs de bureau en bureau (Sponsors et ministères) pour nuire aux autres, total manque de respect de générations, division du secteur par les acteurs connus de tous pour être coûte que coûte et forcément ministre. >> A t'il écrit entre autres.

 

Une situation assez inquiétant sachant l'image d'un pays se définie par rapport à celle de sa culture. Toutefois, Tidiane Soumah espère que tout ceci va bientôt rentrer en ordre après la nomination d'une dame pour assainir ce secteur et qu'il qualifie d'un (bon choix).»

 

 

« Le choix d'une innocente femme et cadre compétent en gestion publique :

 

Une femme pour humaniser ce secteur et faire une révolution au niveau de la gouvernance culturelle, dans la transparence et efficacité sur résultats , en mettant fin aux festivals sans consistance , sans structure , censer être financer  par le ministre mais a la charge d'un organisme public/ privé permanent , et très professionnel pour quitter la période de l'antiquité , juste de débarras , de semblant sans aucune incidence , et toujours  fait à la dernière minute à la 6/4, sans magazine,  sans site digitale, sans pre financement de vraies productions artistiques , aucun confort .

 

Mme Sano Konaté, 1ere femme ministre de la Culture depuis 2010, après Feue Koumba Diakite au temps du régime Conté, devant les soi-disant experts divisés dans une hypocrisie qui n'a plus d'endroit ou se cacher, donc visible à vue d'oeil.

 

Très bon choix. » A-t-il estimé mais attendons de voir

 

 

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