En prélude à son concert du 14 juin 2025 à l’Olympia déjà annoncé complet Takana Zion était l’invité de l’émission Légendes Urbaines, animée par Juliette Fievet sur RFI. L’artiste guinéen y a livré un message fort, empreint de fierté et de responsabilité, autour de son engagement pour le rayonnement de la culture guinéenne.

Au cœur de l’archipel de Mishima, dans la préfecture japonaise de Kagoshima, résonnent les rythmes d’un instrument venu de l’Afrique de l’Ouest : le djembé. Cet emblème de la tradition guinéenne est désormais enseigné dans une école de renommée internationale, preuve du rayonnement grandissant de la culture guinéenne au Japon.

À l’occasion de la Journée nationale dédiée à la République de Guinée, ce mardi 10 juin à l’Exposition universelle d’Osaka 2025, le pays a brillamment mis en avant son patrimoine culturel à travers une prestation artistique d’exception. Placée sous le thème mondial « Concevoir la société du futur et imaginer notre vie de demain », cette édition de l’Expo a été le théâtre d’une célébration intense des rythmes, danses et voix venus de Guinée.

Longtemps restée en retrait, Missia Saran Diabaté, alias « Petit Piment », a renoué avec le public guinéen à l’occasion de la 85ᵉ édition de la Mamaya, célébrée à Kankan. Dans une atmosphère où se mêlaient solennité et effervescence populaire, la chanteuse a signé un retour chargé d’émotion, salué par un public conquis.

Du 6 au 8 juin 2025, la ville de Kindia a été le théâtre d’une grande célébration culturelle à l’occasion de la 6ᵉ édition du Festival Kania Soly, un rendez-vous devenu incontournable pour les défenseurs de la tradition, du vivre-ensemble et du patrimoine guinéen.

Depuis le 6 juin 2025, Kankan vit au rythme de la 85ᵉ édition de la Mamaya, l’un des plus anciens et emblématiques rendez-vous culturels de la Guinée. Plus qu’une simple célébration festive, la Mamaya est un rite de mémoire et d’identité, inscrit dans le patrimoine immatériel guinéen, qui rassemble chaque année des milliers de personnes venues de toutes les régions et de la diaspora.

Ils ont fait vibrer les ghettos de Conakry, bousculé les codes établis et imposé leur vision d’un rap conscient, social, ancré dans les réalités guinéennes. Kill Point, Légitime Défense, Gandal Foly, Raisonnable Djely, Fac Alliance, Mifa Gueya, Pap Soul, Méthodik, Idéal Black Girl, DemonX, Alkebulan, Dudda InchAllah, Sillatigui, M.A.S… autant de noms qui, dans les années 1990 et 2000, incarnaient la voix des sans-voix, la résistance sonore d’une jeunesse en quête d’expression.

À quelques jours de la fête, la culture guinéenne s’apprête à vibrer au rythme d’un projet d’envergure. Sekouba Kandia Kouyaté, directeur général des Ensembles nationaux, vient d’annoncer la sortie imminente d’une œuvre musicale inédite "Manssa". Fruit d’une collaboration exceptionnelle entre les piliers artistiques de la nation.